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EOS: projet de recherche CliPS
Climate change and effect on Pollination Services
La pollinisation est un service majeur fourni aux écosystèmes par divers pollinisateurs (tels que les abeilles). La biodiversité de ces pollinisateurs a un impact économique direct sur l'agriculture. Diverses menaces accentuent cependant la pression sur ces communautés de pollinisateurs.
Le projet CliPS vise à comprendre l'impact du changement climatique sur les pollinisateurs et leurs activités. Les chercheurs se focalisent sur les communautés d’abeilles sauvages et domestiques et estiment leur efficacité de pollinisation sur deux types de cultures: celle des pommes et celle des tournesols. CliPS s’intéresse également aux mécanismes d'adaptation: suite au réchauffement climatique, on s'attend à ce que la distribution des espèces évolue dans l'espace (migration vers le Nord) et dans le temps (émergence plus précoce), tandis que certaines cultures importantes (comme les pommiers) sont susceptibles d’offrir une floraison retardée et plus longue. Ces projections permettront aux chercheurs d'évaluer les changements attendus dans la distribution des espèces de pollinisateurs en 2050 et en 2100, en Espagne, en France et en Belgique, ainsi qu’à l'échelle européenne.
Coordonné par l’Université de Gand, le projet associe l’Université de Mons et l’ULB (Nicolas Vereecken – Groupe d’Agroécologie & Pollinisation, Faculté des Sciences).
Le projet CliPS vise à comprendre l'impact du changement climatique sur les pollinisateurs et leurs activités. Les chercheurs se focalisent sur les communautés d’abeilles sauvages et domestiques et estiment leur efficacité de pollinisation sur deux types de cultures: celle des pommes et celle des tournesols. CliPS s’intéresse également aux mécanismes d'adaptation: suite au réchauffement climatique, on s'attend à ce que la distribution des espèces évolue dans l'espace (migration vers le Nord) et dans le temps (émergence plus précoce), tandis que certaines cultures importantes (comme les pommiers) sont susceptibles d’offrir une floraison retardée et plus longue. Ces projections permettront aux chercheurs d'évaluer les changements attendus dans la distribution des espèces de pollinisateurs en 2050 et en 2100, en Espagne, en France et en Belgique, ainsi qu’à l'échelle européenne.
Coordonné par l’Université de Gand, le projet associe l’Université de Mons et l’ULB (Nicolas Vereecken – Groupe d’Agroécologie & Pollinisation, Faculté des Sciences).
Dates
Créé le 13 août 2018