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Colloque en éducation : Rencontre E.COL.E
Evénement annuel qui a pour objectif de faire interagir les acteurs et actrices de terrain autour de problématiques concrètes et d’actualités.
Troisième édition - 20 mai 2025 :
« Entre logiques institutionnelles et familiales : les inégalités sociales à l’école »
Depuis de nombreuses années, le constat est sans appel : l’enseignement en Belgique, tant du côté francophone que néerlandophone, est marqué par de profondes inégalités. Parmi les pays industrialisés, la Belgique se distingue comme l’un de ceux où la position socio-économique des parents constitue un facteur prédictif majeur des résultats scolaires et des orientations des élèves. À cela s’ajoutent des écarts significatifs de composition et de performance entre les établissements.
Pourtant, en principe, l’accès à l’école est garanti pour tous. Contrairement à d’autres pays, en Belgique, nous ne disposons pas d’un système parallèle d’écoles privées coûteuses en dehors du réseau public gratuit. Bien qu’il existe divers pouvoirs organisateurs (publics, confessionnels ou issus de la société civile), tous les établissements bénéficient de subsides de l’État et offrent un accès (quasi) gratuit.
Cependant, ce système ne parvient pas à empêcher une dynamique de compétition croissante entre élèves et parents, chacun cherchant à accéder aux "bonnes" écoles tout en évitant les "mauvaises", contrairement au principe de base qui devrait garantir une qualité équivalente pour chaque établissement.
Cette logique de quasi-marché scolaire affecte non seulement le choix des établissements par les familles, mais également le recrutement des enseignants. Il en résulte une acceptation presque collective d’un système éducatif à vitesses multiples, où coexistent des écoles dites "fortes" et "faibles", comme si cette réalité était inévitable.
Face à cette situation, plusieurs questions fondamentales se posent :
- Comment les écoles se positionnent-elles face à ces inégalités structurelles ?
- Quel rôle s’attribuent-elles face au défi de la reproduction des inégalités sociales dans le système éducatif ?
- Comment gèrent-elles ces inégalités au sein même de leurs murs ?
- Enfin, quelle est l’implication et la responsabilité des familles dans ce système de concurrence et de compétition ?
Inscription gratuite obligatoire au Colloque et/ou à la conférence-spectacle «Kevin» : https://forms.office.com/e/7datcjuHY8
Intervention de Julien Danhier (Ph.D., Sociologie, ULB) « Un état des lieux sur la question des ségrégations dans l’enseignement secondaire en Belgique francophone »
Dans le contexte belge francophone, cette ségrégation se confronte à un double problème d’efficacité et d’inégalités scolaires. En effet, malgré l’objectif d’égale émancipation des élèves que nous nous sommes fixé, nous rencontrons des difficultés à les amener tous à un niveau jugé suffisant. La seconde partie de la présentation consistera à présenter des éléments qui permettent d’articuler d’une part ségrégation et inégalités et d’autre part ces dimensions et l’efficacité du système éducatif.
Table ronde « Gestion des inégalités sociales au sein des établissements scolaires » animée par Dirk Jacobs (Professeur, Sociologie, ULB)
Cette table ronde abordera deux grands défis auxquels les établissements scolaires sont confrontés.
1. Contexte externe et interactions avec l’environnement socio-démographique
Dans un système scolaire caractérisé par des dynamiques de quasi- « marché scolaire » et de fortes disparités entre établissements (profil des élèves, stabilité des équipes pédagogiques, pénurie d’enseignants, etc.), comment l’école perçoit-elle son rôle face à ces réalités ?
- Quelle est sa position vis-à-vis de sa composition (public aisé ou défavorisé, homogénéité ou hétérogénéité des profils) et des moyens pédagogiques disponibles ?
- Comment se situe-t-elle par rapport à son environnement socio-démographique, notamment au niveau des quartiers d’implantation ?
- Vise-t-elle à favoriser davantage de mixité sociale ou préfère-t-elle s’adapter à la composition existante et répondre aux défis spécifiques qui en découlent ?
- Enfin, quelles sont leurs relations entre établissements voisins : s’inscrivent-ils dans une logique de solidarité, de concurrence, ou d’indifférence ?
2. Gestion des inégalités sociales au sein de l’établissement
Face aux inégalités sociales internes, quelles attitudes privilégier ?
- Instaurer une ségrégation interne en regroupant des élèves aux profils similaires dans certaines classes, afin de garantir une certaine homogénéité, ou au contraire, viser davantage de mixité ?
- Dans la gestion administrative et les interactions avec les familles, l’école doit-elle intégrer la diversité des contextes familiaux (multilinguisme, familles bi ou monoparentales, recomposées, disparités de revenus ou de familiarité avec le système scolaire) ? Doit-elle adopter une approche uniforme (one-size-fits-all) ou diversifier les pratiques pour mieux répondre à ces réalités, et comment mettre cela en œuvre concrètement ?
- Julie Moens, Directrice ESPM et co-fondatrice du projet des Ecoles secondaires Plurielles (Karreveld et Maritime)
- Laila Messaouri, Directrice ESPK (Ecole secondaire Plurielle Karreveld)
- Cécile Geudvert, Directrice Athénée Royal de Jambes
- Johann Dizant, Directeur Institut des Filles de Marie
- Pascal Hallemans, Directeur Athénée royal de Woluwe-Saint-Lambert.
- Stéphane Nelissen, Directeur Athénée royal Leonardo Da Vinci
Intervention de Pierre Périer (Professeur, Sociologie, Rennes 2) « les relations entre l’école et les familles dans les quartiers populaires »
Table ronde « École et famille » animée par Dorothée Baillet (Professeure, Sciences de l'éducation, ULB)
Les participants à cette table ronde sont :
- Françoise Robin, Chercheuse, maitre-assistante ULB et HE2B
- Benoît Pinto, Docteur en Sciences politiques et sociales de l’ULB, Assisant social à la Maison Médicale « La Glaise » à la Docherie (Charleroi)
- Anh Thy Nguyen, Coordinatrice du projet « Ancrage », Chercheuse à la Haute Ecole Léonard de Vinci et Conseillère scientifique en Sciences humaines et sociales chez SynHERA
- Nadia Echadi, Enseignante, cochercheuse à Maxi-Liens asbl et au projet « Ancrage »
- Frédérique Mawet, Militante pour ChanGements pour l'égalité et pour la Coalition des parents de milieux populaires
- Hayet Chouo, Mère et membre du comité de pilotage de la Coalition des parents de milieux populaires
- Layla Mourtada, Coordinatrice de l'école de devoirs de la Scientothèque / ULB
La journée du Colloque se terminera par une représentation de la conférence-spectacle « KEVIN» d'Arnaud Hoedt et de Jérôme Piron • Chantal & Bernadette
« L’école au regard de l’égalité des chances
Il y a les profs qui aiment leurs élèves, les pédagogues compétents et dont la personnalité est une leçon à elle seule,
les directions d’école engagées, qui luttent chaque jour jusqu’à l’épuisement, les parents impliqués, les élèves inspirants.
On ne parlera pas d’eux.
On parlera de Kévin.
Parce que l’école, pour Kévin, ça n’a pas du tout marché.» Vous pouvez assister à la conférence-spectacle uniquement, mais le nombre de places étant limité, la priorité sera donnée aux participants au Colloque. Inscription (gratuite) obligatoire via le formulaire du Colloque.
Inscription gratuite obligatoire au Colloque et/ou à la conférence-spectacle «Kevin» : https://forms.office.com/e/7datcjuHY8
Programme :
9h30 : Mot d'introduction
9h45 : Intervention de Julien Danhier « Un état des lieux sur la question des ségrégations dans l’enseignement secondaire en Belgique francophone »
10h30 : Questions - réponses
11h00 : Pause - café
11h30 : Table ronde « Gestion des inégalités sociales au sein des établissements scolaires » animée par Dirk Jacobs
12h45 : Lunch et discussions
14h00 : Intervention de Pierre Périer « Les relations entre l’école et les familles dans les quartiers populaires »
14h45 : Questions - réponses
15h15 : Pause - café
15h45 : Table ronde « L’école et la famille » animée par Dorothée Baillet
17h00 : Conclusion - drink
18h30 : Conférence-spectacle « KEVIN »
Des questions ? Envoyez un email à ulbecole@ulb.be
- Deuxième édition - 11 avril 2024 : De la pénurie à la prévention : les défis des métiers de l'éducation
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Une conférence sera organisée en matinée par Dominique LAFONTAINE, Ariane BAYE et Valérie QUITTRE (ULiège).
Entre baisse des inscriptions dans les formations à l’enseignement et sorties précoces du métier, la pénurie d’enseignants s’est installée durablement dans le système éducatif de la FWB, suscitant tensions et inquiétudes pour l’avenir. La conférence tentera de mettre en perspective cette pénurie et d’en cerner les contours, les contextes, les enjeux et les effets. A cette fin, elle s’appuiera sur les données de plusieurs enquêtes à large échelle menées auprès des élèves et des directions d’écoles (PISA, PIRLS, TIMSS) et des enseignants (TALIS), de l’an 2000 à aujourd’hui. La pénurie actuelle sera mise en perspective d’un point de vue historique (quelles évolutions depuis 2000 ?) et replacée dans un cadre comparatif (les pays européens sont-ils également affectés ?). Ensuite, nous tenterons de mettre en relation le manque d’enseignants qualifiés avec les caractéristiques des établissements et leurs publics. Enfin, un éclairage sera apporté sur certains aspects du climat scolaire qui peuvent impacter négativement le bien-être des enseignants au sens large (satisfaction professionnelle, stress, épuisement, sentiment d’efficacité...) et les conduire à se désengager ou à quitter le métier.
La seconde intervention en après-midi sera conférée par Christian MAROY (UCLouvain) et portera sur la thématique « Gouvernance et responsabilisation des écoles par les résultats. Genèse, variantes, effets. Quels enjeux pour la FBW ? »
Depuis une vingtaine d’années, sous l’influence de la mondialisation et du déploiement de la doctrine de la « nouvelle gestion publique », de nouvelles politiques éducatives dites d’accountability (Etats-Unis), de « gestion axée sur les résultats » (Québec), de « self-evaluation » (Ecosse) ou encore de « pilotage » par les résultats (France, Belgique) se développent. De façon variable selon les pays, ces réformes promeuvent une autonomisation accrue des établissements scolaires, l'évaluation externe des résultats des écoles, leur responsabilisation et la reddition de comptes des écoles aux parents ou à la hiérarchie administrative, sur base de leurs résultats. Ces politiques redistribuent les responsabilités et rôles entre les acteurs organisationnels et institutionnels (administration centrale, réseaux, inspections, conseillers pédagogiques, directions et enseignants). Surtout elles se basent sur de nouveaux instruments d'action publiques (plans, contrats, indicateurs, évaluations, redditions de comptes). En particulier, de nouvelles fonctions sont assignées à l’évaluation : loin d’être seulement un outil de certification ou de régulation pédagogique aux mains des praticiens de l’enseignement, elle devient un outil politique de « pilotage » des systèmes et de « responsabilisation » des acteurs locaux (directions et enseignants).
Notre propos sera d'abord de cerner les contextes objectifs et les sources discursives qui sont à la genèse de ces politiques. Nous proposons ensuite une typologie de trois logiques de régulation sous-tendant ces politiques : 1) reddition de comptes dure, 2) reddition de compte et responsabilisation réflexives, 3) responsabilisation douce. Ces logiques idéal-typiques seront illustrées à partir d’exemples de systèmes éducatifs européens et nord-américains. Sur base de quelques résultats significatifs d'une recherche multiniveau menée pendant 7 ans sur la mise en œuvre de cette politique au Québec (Maroy C., 2021), nous insisterons ensuite sur les conséquences de ce nouveau modèle de gestion scolaire sur l’autonomie et la reconnaissance professionnelles des enseignants et la diversité de leurs réponses face aux pressions institutionnelles.
La journée sera également rythmée par des ateliers :- Atelier 1 : Insertion et maintien des enseignant·es
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L'atelier proposé est destiné aux futurs enseignants, nouveaux enseignants et tous ceux qui sont intéressés par l'insertion et le maintien de ceux-ci dans le métier. Il vise à discuter avec les participants des problèmes rencontrés, des solutions envisagées, des raisons que certaines situations professionnelles semblent impossibles. In fine, en identifiant ce qui est priorisé par chaque praticien, il s'agira d'envisager d'autres possibles fondés sur d'autres hiérarchies des contraintes.
Hichem DAMOUCHE – ULB, Science de l’éducation
- Atelier 2 : Réflexions, stratégies et initiatives pour faire face à la pénurie
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Au sein de cet atelier, nous adopterons une approche nuancée en explorant les diverses facettes du problème. Plutôt que de prendre une position tranchée, notre intention est de fournir un espace propice à la réflexion collective et aux partages d’expériences et de pratiques. Nous aborderons des pratiques variées en matière de recrutement et d’accompagnement d’enseignants en situation de pénurie, tout en soulignant l'importance d'une vision inclusive et équilibrée pour attirer et accompagner des enseignants de tous profils.
L'objectif est d'offrir un panorama des possibilités existantes, de pratiques et stratégies testées à notre échelle, de susciter des échanges et de favoriser une compréhension approfondie des enjeux. Nous présenterons différentes incitatives menées pour tous les profils actuellement engagés dans l’enseignement ; les titres requis, suffisants, de pénurie et de pénurie non listés. Ces incitatives concernent autant la communication que l’accueil et la prise en charge des enseignants avec ou sans titre pédagogique spécifique.
Nous espérons que cet atelier encouragera une réflexion constructive sur la manière dont, ensemble, nous pouvons faire face à la pénurie d'enseignants, en envisageant des solutions évolutives.
Frédérique BIESEMANS & Amina TALHAOUI – ULB, Science de l’éducation
- Atelier 3 : ULB, carrières et enseignement aujourd'hui
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Cette table ronde a pour objectif de rassembler divers acteurs de l'enseignement afin de guider au mieux les étudiants se destinant à une carrière dans l'enseignement. Pour celles et ceux hésitant à s'engager, des initiatives de l'ULB offrent des opportunités temporaires, permettant d'explorer la voie éducative avant une décision définitive.
Au travers d'échanges et de discussions, l'ULB souhaite faciliter l'accès au secteur de l'enseignement avec des programmes d'orientation, des stages pratiques et des partenariats scolaires, soutenant ainsi les aspirations professionnelles des étudiant·es.
Marc VANDEUR – ULB, InfOR-emploi
- Atelier 4 : Épanouissement professionnel dans l'enseignement : stratégies pour entretenir la flamme et prévenir l'épuisement
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Les métiers de l’éducation sont des métiers énergivores. Ils demandent investissement, dévouement, abnégation et résilience. Dans le contexte actuel, la vocation ne suffit plus comme moteur pour « tenir » toute une carrière. Au quotidien ou de manière plus systémique, quels leviers activés pour entretenir/retrouver la flamme pour son métier ? C’est ce que nous travaillerons ensemble lors de cet atelier durant lequel partage, échange et réflexion seront mis à profit pour repartir avec des pistes d’actions concrètes pour plus de bien-être au travail, élément protecteur de l’épuisement professionnel.
Cécile MARCUCCI – The C coach
- Atelier 5 : Enseigner autrement : pistes face aux défis du recrutement
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Dans un contexte où les défis de recrutement, de rétention du personnel et de gestion de la charge de travail préoccupent tant le monde de l'enseignement, cet atelier propose une exploration novatrice des pratiques efficaces dans le secteur professionnel. Inspirons-nous des stratégies éprouvées des entreprises pour attirer et retenir des talents, maintenir une motivation et un engagement durables, tout en préservant un équilibre des énergies personnelles. Ensemble, réfléchissons à des solutions concrètes, adaptées au contexte éducatif, afin de créer des environnements propices à l'épanouissement professionnel, à la fidélisation du personnel et à une charge de travail à taille humaine.
Céline MOEDTS & Virginie DUMONT – EssenC
- Atelier 6 : La législation à l’épreuve de la pénurie des enseignants en secondaire ; quelles évolutions, quelles mesures ?
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A travers l’examen de la réglementation en vigueur et des réformes envisagées, l’atelier se propose d’aborder la question de la pénurie des enseignants au secondaire sous l’angle législatif ; en particulier en application de l’actuel décret Titres et Fonctions, du travail qui est fait en ce moment-même pour en dessiner les évolutions futures, et des autres mesures diverses proposées par le pouvoir régulateur en réponse à cette problématique qui s’annonce majeure à l’heure où les réformes du Pacte pour un enseignement d’excellence consacreront bientôt la mise en œuvre du Tronc Commun dans les premières années du secondaire.
Sébastien SCHETGEN, François FARVACQUE & Martine DUMONT - CPEONS
- Atelier 7 : Comment former les futurs professeurs aux réalités pratiques du terrain ?
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Echanges et partages d'expériences avec des formateurs d'enseignant·es du secondaire supérieur (Haute Ecole et Université).
Pierre VANDEN DUNGEN & Arnaud KNAEPEN - ULB
- Atelier 8 : Comprendre et agir face à la pénurie en Belgique Francophone
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En Belgique francophone, la problématique de la pénurie, caractérisant un nombre croissant de fonctions enseignantes, interpelle de nombreux acteurs de l’enseignement. Bien qu’une légère baisse de l’attractivité du métier puisse être identifiée par l’intermédiaire des inscriptions au sein des cursus pédagogiques, le facteur expliquant le plus significativement ce phénomène sont les taux de sorties précoces du métier. En effet, tous niveaux de l’enseignement obligatoire confondus, 35 % des enseignants quittent la profession endéans les cinq premières années de carrière. Ce constat est imputable à un ensemble de facteurs parmi lesquels le diplôme détenu, les conditions d’emploi vécues, le niveau d’enseignement intégré, les modalités de gestion des carrières en vigueur ou encore la culture organisationnelle de l’établissement. Dans ce contexte, l’atelier vise à détailler ces différents facteurs prédictifs et à mettre en évidence, de manière collective, des pistes d’action qui pourraient être développées tant à l’échelle de l’établissement qu’au niveaux plus macro du pouvoir organisateur et du système éducatif.
Sandrine LOTHAIRE - UMons
Le colloque fait partie du programme des formations en interréseaux organisées par l’IFPC. Pour vous y inscrire, rendez-vous sur le site de l’IFPC https://ifpc.cfwb.be. Vous aurez besoin d’une clé d’inscription aux formations (C.I.F.) disponible auprès de votre direction. La référence du code consacré à cette formation porte le numéro « 120302305/49079 »
Colloque gratuit - Inscriptions obligatoires.
Les inscriptions au colloque sont ouvertes jusqu'au 01/04/2024.
L'équipe du Pôle Éducation se réserve le droit de clôturer celles-ci plus tôt en raison du nombre limité de places disponibles.
Nous complèterons cette journée de colloque par un débat dynamique avec plusieurs personnalités politiques :
Madame Caroline Désir (PS)
Madame Marie-Martine Schyns (Les Engagés)
Madame Marie Borsu (Écolo)
Madame Joëlle Maison (Défi)
Monsieur Nicolas Janssen (MR)
Monsieur Jean-Pierre Kerckhofs (PTB)
Lieu : campus du Solbosch - bâtiment S - salle Dupréel (Avenue Jeanne, 44 - 1050 Ixelles)
Co-organisation Pôle Éducation et CEVIPOL
Débat gratuit - Inscriptions souhaitées.
Retour en images sur la 2e édition du Colloque en Education «Rencontre E.COL.E»
- Première édition - 17 avril 2023 : les pratiques collaboratives
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À l’initiative du Vice-Rectorat à l’Enseignement et à la Qualité, l’Université libre de Bruxelles organise le 17 avril 2023 son premier colloque en éducation. La thématique 2023 était les pratiques collaboratives.
À travers deux conférences interactives et différents ateliers participatifs, le public a eu l'occasion d'explorer les nombreuses facettes de cette approche richement commentée dans les milieux de l’enseignement. Un point d’honneur a été apporté à l'analyse de situations concrètes, à encourager l’interactivité avec le panel d’expert·es et à proposer un maximum de pistes concrètes pour l’implémentation de ces pratiques.
Descriptions des ateliers :- Les outils d'orientation en ligne : découverte, utilisation et limites.
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Vous passerez en revue un certain nombre d’outils « d’orientation » en ligne en les liant à différentes approches de l’orientation. TEODOR, un nouvel outil d’aide au choix d’études en ligne proposé par l’ULB sera présenté et testé. En s’appuyant sur la présentation des outils et cette expérience spécifique, vous mènerez une réflexion critique sur les outils « d’orientation » en ligne concernant leurs objectifs, leur utilisation, leurs limites.
- Interdisciplinarité en sciences humaines.
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Lors de cet atelier vous aborderez la réalité humaine des plans de pilotage ainsi que le positionnement des directions face au changement.
- Interdisciplinarité entre arts et sciences.
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Différents projets collaboratifs liés à la géographie, aux arts et aux techniques vous seront présentés. Un partage d'expériences qui vous permettra de les transposer dans vos propres contextes professionnels.
- Expériences collaboratives dans le secondaire - apprentissage des langues.
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Lors de cet atelier il vous sera mis en avant la complexité de l'apprentissage d'une seconde langue dans le contexte d'établissements scolaires multiculturels.
- Expériences collaboratives dans le cadre des évaluations par compétences.
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Ce partage d'expérience mettra en lumière une double perspective compréhensive et transformative de l'activité des enseignant·es confrontée à la mise en place de l'évaluation par compétences.
- Les examens d'entrée.
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Partage d'expériences sur les collaborations entre les établissements secondaires et les établissements supérieurs dans le contexte de la préparation aux examens d'entrée.
Retour en images sur la 1ère édition du Colloque en Education «Rencontre E.COL.E»