- Accueil
- FR
- Étudier
- Offre de formation
- phisoc
-
Partager cette page
Master en anthropologie
- année académique2024-2025
Le programme 2024-2025 est susceptible d'être modifié. Celui-ci est donné à titre indicatif.
Accéder aux sections de la fiche
Call to actions
-
Intitulé du programmeMaster en anthropologie
-
mnémonique du programmeMA-ANTR
-
Programme organisé par
- Faculté de Philosophie et Sciences sociales
-
Type de diplômeMaster 120 crédits
-
Cycle2e cycle
-
Secteur et domaine d'étudesSciences humaines et sociales/Sciences politiques et sociales
-
Type d'horaireEn journée
-
Langues d'enseignementfrançais
-
Durée théorique de la formation2 ans
-
CampusSolbosch
-
Catégorie / ThématiqueSciences humaines et sociales - Sciences politiques et sociales
- Président du juryOlivia ANGE
- Secrétaire du jurySarah O'NEILL
-
E-mail de contact
-
Téléphone de contact
-
Renseignements supplémentaireshttps://phisoc.ulb.be/
Secrétariat
Hendrika Di Vincenzo
Bâtiment H, niveau 3 Campus du Solbosch
Av. Paul Héger, 6, B-1050 Bruxelles
Présentation
Détails
Informations générales
Type de diplômeMaster 120 crédits
Durée théorique de la formation2 ans
Langue(s) d'enseignementfrançais
Type d'horaireEn journée
CampusSolbosch
Catégorie(s) - Thématique(s)Sciences humaines et sociales - Sciences politiques et sociales
Faculté(s) et université(s) organisatrice(s)Contacts
Réussir ses études
ChoisirLes conseillers et conseillères en information et en orientation du Service InfOR-études vous aident dans votre choix d'études, tout au long de l'année
RéussirParticipez aux cours préparatoires ou bénéficiez d'aide à la réussite, avant ou pendant vos études
Être aidéSollicitez une aide financière, cherchez un logement ou un job étudiant, bénéficiez d'un accompagnement pour vos besoins spécifiques
Présentation
Objectifs de la formation
Le Master en anthropologie permet d’acquérir à la fois les connaissances théoriques et une maîtrise pratique des méthodes propres à cette discipline, et en particulier de l’observation participante. Il associe également une solide formation théorique à l’ouverture vers différentes aires géographiques, au premier rang desquelles l’Afrique, mais aussi plusieurs régions d’Asie orientale ou d’Amérique latine. Par ailleurs, ce « regard éloigné » sur les sociétés non européennes et cette approche pleinement comparative qui est celle de l’anthropologie nourrissent une perspective originale pour comprendre les mondes contemporains dans leur ensemble, en ce compris les complexités des sociétés industrielles avancées. Au terme de leur formation, les diplômé.e.s auront acquis à la fois une connaissance générale des grands enjeux et des grandes problématiques de la discipline, mais aussi un ensemble de savoirs approfondis dans les domaines dans lesquels ils se seront spécialisé.e.s.
Méthodes et équipe pédagogiques
Le master associe plusieurs méthodes pédagogiques. Les cours ex cathedra alternent avec des exercices en petits groupes, des séminaires et des travaux de terrain.
L'accent est mis sur la capacité d'analyse critique ; sur l'acquisition et la mise à l'épreuve de méthodes spécifiques (observation, description, entretien) ; sur le travail de terrain ; sur l'ouverture à d'autres disciplines (sociologie, histoire, psychologie, philosophie, sciences politiques).
Les + de la formation
Une place importante à l’acquisition de compétences pratiques en développant un projet de recherche, depuis la définition d’une problématique de recherche et d’un cadre d’analyse jusqu’à la rédaction d’un mémoire nourri d’un travail de terrain, en Belgique ou à l’étranger.
Une équipe d’enseignants-chercheurs insérés dans des centres de recherches internationaux, aux intérêts variés et aux aires de spécialisation géographiques diversifiées.
Un Cursus européen dont l’ULB assure la coordination.
International / Ouverture vers l'extérieur
L'étudiant.e peut partir pendant un semestre ou toute une année à l'étranger. Le département a noué des accords avec de nombreux partenaires en Europe et dans le monde.
En outre, un partenariat resserré existe avec un nombre limité d’universités, dans lesquelles les étudiant.e.s peuvent effectuer une mobilité qui s’inscrit alors dans le cadre du Cursus européen en anthropologie des dynamiques sociales et du développement, dont l’ULB assure la coordination. Cette mobilité débouche sur une double diplomation lorsqu’elle s’effectue à l’Université de Bordeaux. Découvrir ce cursus européen.
Conditions d’accès
Programme
Le Master en anthropologie forme des spécialistes de l’approche comparative des sociétés, cultures ainsi que de l’enquête de terrain. Il dote les étudiant.e.s des compétences d’analyse critique nécessaires à la réflexion sur la vie en société.
Ainsi, le Master en anthropologie offre d’abord un approfondissement des unités d’enseignement de base présentes au niveau du bachelier, ainsi que des unités d’enseignement d’anthropologie régionale ou thématique et des unités d’enseignements empruntées à d’autres disciplines (sociologie, histoire, psychologie, philosophie, sciences politiques...).
Ensuite, le Master en anthropologie offre la particularité d’être largement organisé autour du mémoire de recherche que l’étudiant.e. est invité.e à produire au terme de celui-ci.
Dans ce cadre, l’étudiant.e déploie dès le début du master un projet de recherche qu’il conçoit en dialogue avec le/la promoteur.rice qu’il aura choisi. Le Master en anthropologie fait donc une place importante à la formation par la recherche et permet aux étudiant.e.s d’acquérir l’ensemble des compétences liées à la conception puis à la mise en œuvre d’une recherche empirique de terrain, de la définition d’un cadre d’analyse et de la production des données à la rédaction du mémoire.
Et après ?
Débouchés
La formation ouvre sur les débouchés «classiques» des sciences sociales : la recherche sur le monde social, plus fondamentale (Université, institutions de recherche) ou plus appliquée (bureaux d’études et de conseil, ONG, institutions internationales). Ainsi, rompus à l’analyse des changements culturels, les anthropologues peuvent, comme les sociologues, s’engager dans des institutions directement impliquées dans le changement social, dans la conception de politiques sociales ou culturelles, dans la pratique du « développement », etc.
Secteurs : institutions nationales et internationales (Union Européenne, Banque mondiale, etc.), ONG et coopération internationale, services sociaux, monde associatif, fonction publique, bureaux d’études et de conseil, enseignement, institutions de recherche publiques ou privées.